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17/02/2008

Communiqué : A propos du traité de Lisbonne

Le Rassemblement Civique pour l’Europe se félicite de ce que la France a finalement ratifié le traité de Lisbonne car, même s’il regrette certains reculs par rapport au projet de traité constitutionnel initial, notamment l’abandon de la référence aux symboles européens de l’Union qui font l’identité de l’Europe, à savoir le drapeau, l’hymne, la devise et la journée du 9 mai, journée de l’Europe, ce projet permet cependant à l’Europe de sortir de l’impasse dans laquelle elle se trouvait depuis les refus français et hollandais, même si d’autres étapes doivent être franchies et d’autres obstacles levés.

Le Rassemblement Civique pour l’Europe souhaite toutefois que la France, à l’instar de seize autres pays qui l’ont déjà fait, signent la déclaration commune annexée au traité de Lisbonne par laquelle ils font savoir que les « symboles européens » continueront d’être pour eux, les symboles de l’appartenance commune des citoyens à l’Union européenne et de leur lien avec celle-ci.

Enfin, le Rassemblement Civique pour l’Europe regrette les palinodies et les artifices de tous ceux qui, adversaires patentés ou non du projet, ont adopté des postures politiciennes au regard de la procédure retenue (voie parlementaire et non référendaire) pour procéder à la ratification du traité alors même que certains d’entre eux, et cette fois-ci à juste titre, évoquent la nécessité de « revaloriser le Parlement ».

22/01/2008

"Esquisse d'une démocratie nouvelle" - pour une éthique en politique

c18183766b34c39a5b3835fc530fc6cf.jpgGérard-David Desrameaux, président fondateur du Rassemblement Civique pour l'Europe vient de publier Esquisse d'une démocratie nouvelle.

L'auteur face aux faiblesses de la démocratie dans notre pays qui conduisent à une désaffection, au demeurant relative, de l'intérêt des citoyens pour la chose publique, la Res Publica, entend esquisser un projet de démocratie nouvelle fondée sur une éthique de responsabilité, un développement du civisme et l'affirmation d'une société s'appuyant sur la défense des droits et des devoirs de l'homme. Gérard-David Desrameaux est notamment convaincu que rien ne changera vraiment sans une modification significative du mode de scrutin permettant une juste et authentique représentation des citoyens et la défense du pluralisme.

L'auteur entend, par cet essai, contribuer au débat d'idées au moment où, d'une part, des projets sont à l'étude en vue de modifier nos institutions et où, d'autre part, un grand parti démocrate est en train de naître sur la scène politique française.

Ce livre est disponible en librairie, il peut être commandé aux Editions Lanore (6 rue de Vaugirard, 75006 Paris)(www.editionslanore.com), ainsi qu' auprès du RCE. Vous pouvez dans ce cas envoyer votre commande au RCE 17, rue de L'Avre Paris 75015 accompagné d'un chèque de 17€ à l'ordre de Gérard-David Desrameaux.

11/01/2008

L'Europe et l'accueil des travailleurs migrants

Le RCE a relevé avec intérêt la démarche des autorités de l’Union européenne (la Commission) visant à mettre en place une politique concertée en matière d’accueil de travailleurs étrangers, sur la base d’une « carte bleue », à l’instar de ce que les USA pratiquent depuis de nombreuses années sous l’appellation de « green card » (carte verte).

L’objectif poursuivi au travers de ce support est de faciliter l’accueil au sein de l’Union des travailleurs très qualifiés, en prévoyant pour eux des procédures simplifiées et harmonisées. Il est clairement recherché par ce biais de « concurrencer » des pays comme les USA, le Canada ou l’Australie qui sont, à l’heure actuelle, les destinations les plus recherchées par ces catégories de travailleurs migrants venant des pays aux économies émergeantes.

L’avantage de cette « carte bleue » serait pour l’immigrant d’avoir par ce support, un permis de séjour et de travail de deux ans renouvelables sous les mêmes conditions dans les vingt sept pays membres de l’Union. Les conditions exigées devraient être strictes, à savoir : un diplôme reconnu, au moins trois ans d’expérience professionnelle et une offre d’emploi ne pouvant être pourvue par un travailleur communautaire.