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11/01/2008

L'Europe et l'accueil des travailleurs migrants

Le RCE a relevé avec intérêt la démarche des autorités de l’Union européenne (la Commission) visant à mettre en place une politique concertée en matière d’accueil de travailleurs étrangers, sur la base d’une « carte bleue », à l’instar de ce que les USA pratiquent depuis de nombreuses années sous l’appellation de « green card » (carte verte).

L’objectif poursuivi au travers de ce support est de faciliter l’accueil au sein de l’Union des travailleurs très qualifiés, en prévoyant pour eux des procédures simplifiées et harmonisées. Il est clairement recherché par ce biais de « concurrencer » des pays comme les USA, le Canada ou l’Australie qui sont, à l’heure actuelle, les destinations les plus recherchées par ces catégories de travailleurs migrants venant des pays aux économies émergeantes.

L’avantage de cette « carte bleue » serait pour l’immigrant d’avoir par ce support, un permis de séjour et de travail de deux ans renouvelables sous les mêmes conditions dans les vingt sept pays membres de l’Union. Les conditions exigées devraient être strictes, à savoir : un diplôme reconnu, au moins trois ans d’expérience professionnelle et une offre d’emploi ne pouvant être pourvue par un travailleur communautaire.

04/01/2008

La Pologne s'ouvre sur l'Europe

Le RCE ne peut que se réjouir que le changement politique récent intervenu en Pologne ait abouti à ce qu’une nouvelle majorité plus favorable à l’intégration européenne arrive aux « commandes » de ce pays important de l’Union. Les toutes premières déclarations des nouveaux dirigeants polonais reflètent ainsi cette orientation positive, loin de l’opposition systématique qu’adoptaient auparavant les frères Kachiensky. Ces nouvelles positions ont certainement facilité l’adoption toute récente des conclusions du Traité de Lisbonne sur l’évolution du cadre institutionnel de l’Union Européenne.

20/12/2007

COMMUNIQUE du RCE

Lors de sa réunion du 12 décembre 2007, le RCE (Rassemblement Civique pour l’Europe) s’est félicité de la signature du Traité de Lisbonne qui reprend l’essentiel des dispositions prévues dans le projet de Traité constitutionnel abandonné après le résultat négatif des référendums français et néerlandais.

Le RCE a toutefois fortement regretté que les symboles (drapeau, hymne, devise) aient été abandonnés sous la pression des Etats les plus « eurosceptiques ».

Il a pris note de la volonté réaffirmée par le président de la République française de faire ratifier le traité par la voie parlementaire conformément à l’engagement pris lors de la campagne électorale.

Au-delà de ce projet de traité qui permet à l’Union Européenne de sortir de l’impasse institutionnelle dans laquelle elle se trouve depuis plusieurs années, les membres du RCE, fidèles à leur engagement en faveur de la construction européenne, se sont inquiétés de l’absence de leaders européens capables dans un avenir proche de pousser les « feux européens ». Ils ont émis l’espoir que, selon le principe la fonction crée l’homme, la nomination d’un président de l’UE pour deux ans et demi sera l’occasion de combler ce déficit.